Brève visite au concours FRANCIRIS 2017. Un jardin toujours impeccablement soigné, un environnement agréable. Mais, par rapport à ce que j'avais vu en 2015, les iris m'ont paru plus chétif, moins riches en fleurs, beaucoup de plantes peu ou mal poussées et, selon moi, pas vraiment de variété qui se situe au-dessus du panier.
Le vainqueur de la compétition s'appelle 'Chachar' (Seidl, 2013).
La semaine prochaine, pour parodier Jules César, "Commentarii de concursu gallico" ! (1)
(1) en français : "Commentaires sur le concours français".
1 commentaire:
C'est aussi mon avis. Pas de choc visuel comme en 2015.
À quoi cela est-il dû ? Certaines belles variétés ont fleuri en toute fin de concours. À cela on ne peut rien.
Il y a sans doute quelque chose qui tient -malgré les apports de terre- à l'épuisement du sol (l'iris est une plante gourmande). Pour les plantations du concours 2019, il devrait y avoir un changement de terre. On verra. Mais la piètre croissance des lauréats du concours 2015 laisse à penser qu'il y a là une cause probable.
Enfin, peut-être que les variétés envoyées manquaient pour beaucoup de nouveauté. Ce qui explique la surprise face au palmarès où les critères prennent davantage en compte la végétation que la fleur et la nouveauté. Là aussi,il y a quelque chose à revoir
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