8.7.11

ECHOS DU MONDE DES IRIS







Les trois Johnson

On parlait récemment, ici, de la relève parmi les hybrideurs américains. Dans cet ordre d’idée, on peut évoquer les trois Johnson.

Ils ne sont pas parents, mais chacun dans leur genre ils se sont fait connaître au cours des 15 dernières années.

BEN JOHNSON, de Springfield, dans l’Illinois. Ce n’est pas un « gros » obtenteur, mais son travail est chaque fois remarqué. Son premier succès a été ‘Heartstring Strummer’ (1997) qui a obtenu la President’s Cup en 2005. Dernièrement son ‘Fallalery’ (2009) est considéré comme l’un des meilleurs jaunes de ces temps derniers.

LARRY JOHNSON, de Silverton, en Oregon. Il fait partie de la tribu des Ernst/Cooley. Il y a bientôt vingt ans que son nom apparaît parmi les obtenions commercialisée par son clan. Sera-t-il le successeur de Richard Ernst dont la disparition récente a décapité l’entreprise ?
· ‘Arctic Bliss (1999)
· ‘Mallory Kay’ (1999)
sont des exemples de son travail.

THOMAS JOHNSON, de Brooks, Oregon. A travaillé plusieurs années avec Paul Black. C’est sûrement le plus prolifique et le plus talentueux des trois. Avec une Médaille de Dykes, un Florin d’Or et des places d’honneur dans toutes les compétitions auxquelles il participe, son palmarès est déjà considérable, bien qu’il ne soit dans le business que depuis une dizaine d’années.
· ‘Naples’ (2000)
· ‘Dance Till Dawn’ (2011) illustrent ce qu’il sait faire.

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