28.12.12

LES DILETTANTES

V. Jean Ségui 

Le docteur Ségui, gynécologue occitan, a peut-être franchi le pas entre dilettantisme et professionnalisme lorsque, après sa retraite, il s’est entièrement consacré aux iris. Certaines de ses obtentions, comme ‘La Belle Aude’, ont obtenu un vrai succès commercial quand elles sont apparues au catalogue de « Iris de Thau ».

· ‘La belle Aude’ (1982) 
· ‘Sur Deux Notes’ (1981) 
· ‘Doctor Gold’ (1983) 
· ‘Cerdagne’ (1989)

2 commentaires:

gerard a dit…

Je ne suis pas sûr que le terme de dilettante convienne bien aux amteurs qui sont mentionnés au fil des chroniques.
Certes, la premiere définition du Larousse convient : "Personne qui s'adonne à une occupation, à un art en amateur, pour son seul plaisir".
Mais l'usage le plus courant du terme a une connotation péjorative qu'on retrouve dans la seconde définition fournie par le Larousse :
"Personne qui ne suit que les impulsions de son plaisir, de ses goûts, qui exerce une activité de manière fantaisiste "

Aussi je crois qu'il vaudrait mieux trouver un terme moins équivoque.

Sylvain Ruaud a dit…

Il faut prendre "dilettante" au sens propre. Aux obtenteurs dont je parle s'applique la définition première : "Personne qui s'adonne à une occupation, à un art en amateur, pour son seul plaisir".

Cette définition est, à mon avis, celle qui est la plus convenable.